Les événements se sont précipités il y a dix jours ; le dictateur de la Russie a déclenché l'invasion de l'Ukraine. Une décision lourde de conséquences en ce qu'elle est princeps d'un remaniement en profondeur d'un monde qui se cherchait après l'effondrement de l'URSS.
Nous entrons donc dans une phase de ce remaniement en mode guerrier, car il s'agit en effet d'une guerre dont les développements conduiront à une mondialisation de celle-ci.
2022
Dans mon article "2022 année de tous les dangers ?", j'évoquais la contraction de l'indice cyclique des planètes, que l'astrologue André Barbault tenait pour un indicateur fiable de la prévision en astrologie mondiale. Lorsque j'écrivais cet article, nous étions entrés en pandémie de "grippe chinoise" depuis le dédut de l'année 2020. C'est ce qui m'avait motivé à le commettre car cela faisait déjà des années que je pensais à la survenue d'une maladie qui frapperait très large, mais aussi à une déstabilisation majeure de l'équilibre du monde, type 39/45. Le déclenchement de la guerre en Ukraine m'aura donné raison.
C'est en avril 2022 que l'indice de concentration atteindra son maximum, ce qui m'amène à confirmer les craintes qui me tourmentaient quant à l'explosion d'un conflit majeur.
Vladimir Poutine
Les recherches d'André Barbault l'avaient amené à identifier le cycle Saturne/Neptune comme une sorte d'horloge du destin de la Russie Soviétique. Or, les conjonctions de ces deux-là coincident remarquablement avec des événements auxquels le destin de cette partie du monde est lié :
- 1881, assassinat du Tsar réformateur Alexandre II et reprise en main par le nouveau Tsar Alexandre III ; création du premier mouvement sioniste (1882) sur fond de premiers pogroms
- 1917, LA révolution Russe proprement dite
- 1953, mort de Staline, rupture politique et "déstalinisation" par Nikita Krouchtchev
- 1989, destruction du mur de Berlin, accession au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev, rupture d'avec la politique de Leonid Brejnev
- 2025, ... ?
... et c'est ici qu'il me paraît nécessaire de prédire la disparition de Vladimir Poutine. Lui-même est né sous une conjonction entre ces deux planètes, ce qui fonde le jugement astrologique : les phases remarquables du cycle coincident avec celles de son destin.
Déclin d'un dictateur
Astrologues et astronomes pourront vérifier les années de formation de ces conjonctions planétaires (tous les 36 ans). D'autres configurations (ou "aspects") sont aussi de nature à être mis en relation avec des moments importants de l'histoire de la Russie, je vais y revenir un peu plus loin. Un exemple toutefois : carré croissant, Saturne montant devant Neptune (angle de 90° = aspect critique), crise financière en Russie culminant en 1998, marquée par une dévaluation brutale du rouble et un défaut sur la dette russe.
Si Staline est probablement mort de sa "belle mort" comme on dit vulgairement, il n'est pas certain que ce soit le cas de Vladimir Poutine. Très certainement atteint d'un mal chronique qu'il soigne depuis des années (2006 ?), il me semble en fin de vie, ce qui explique sa fuite en avant, motivée par l'exigence par lui ressentie de laisser à sa postérité le retour de l'Ukraine au sein de la Russie "éternelle". L'année 2025 semble être celle de sa disparition - au plus tard 2026 - pour une cause non nécessairement due à sa maladie (assassinat ?).
Pour avoir brandi la menace nucléaire en vue de faire trembler le monde et l'Occident en particulier, ce dictateur paraît éprouver ne plus avoir rien à perdre, ce qui expliquerait sa brutalité, sauf que laisser un monde exangue après lui ne cadre pas exactement avec la rationalité de sa motivation à redorer le blason de sa "russie éternelle".
Entrée dans la paranoïa
C'est ici que je m'interroge quant à la survenue d'un processus psychopathologique s'originant dans le traumatisme que fut pour lui la réunification de l'Allemagne, sa peur de n'avoir pas été à la hauteur comme agent du KGB, du risque pour lui de rentrer - bredouille - d'Allemagne de l'est (dégradation ?), et enfin sa nostalgie maladive d'un temps de grandeur à jamais révolu. Son intelligence lui aura servi pour devenir ce qu'il est devenu dans la Russie d'aujourd'hui. Mais lourdement altéré, son discernement s'érode et lui fait commettre des erreurs funestes.
Observations annexes
La carte de naissance de Vladimir Putin montre bien cette conjonction Saturne/ Neptune à laquelle s'associe le Soleil, symbole du rayonnement personnel, cependant que l'Ascendant (ce qui se lève à l'Est) en Scorpion signale l'aptitude au discernement et à la sagacité, sauf que Mercure (mental, intelligence) trop près de Neptune en est troublé du fait de l'influence de la religion et/ou de la spiritualité, quand ce ne serait seulement dû à une consommation excessive de boissons alcoolisées (Jupiter en Taureau opposé à Vénus signale une forte appétence pour les plaisirs de bouche).
MAIS ce qui inquiète davantage vu les circonstances, c'est l'angularité de Pluton (maître du Scorpion) au Méridien, laquelle indique un goût très prononcé du pouvoir, autrement dit, s'assurer de sa propre sécurité par le contrôle des autres. Pour autant qu'Uranus (uranium ...) soit comme Pluton (plutonium ...) très élevé dans cette carte de naissance, on croit identifier là cette fébrilité, néanmoins affichée, de se sentir sécurisé par l'arme nucléaire.
La menace nucléaire
L'astrologue est donc nécessairement interpellé par ce que la carte du ciel de ce dictateur donne à voir, et à interpréter. Il est grand clair pour celui que je suis que les propos de Vladimir Putin sont à prendre avec le plus grand sérieux. Son intérêt pour les sites fonctionnant avec les éléments fissiles ne fait désormais aucun doute. L'occupation étrangement surréaliste de la centrale confinée sous sarcophage de Tchernobyl interroge. La prise de contrôle par l'armée russe de celle de Zaporijjia se comprend mieux puisque qu'elle fournit encore presque toute l'électricité à l'Ukraine.
Il reste cette fuite en avant d'un chef de guerre définitivement condamné par le mal qui le ronge, cette maladie qui lui a valu des prises massives de cortisone, impossibles à renouveler désormais en ce qu'elles compromettraient gravement son immunité naturelle ainsi que le fonctionnement de ses reins.
C'est ici que je ne peux m'avancer davantage pour vous annoncer, ou pas, l' "apocalypse" nucléaire.
Reste une chose. L'arsenal des armes nucléaires est tel qu'il en comporte de petite, moyenne, grande portée, ainsi que de puissances diverses. Ce que par ailleurs on ne sait pas, c'est l'existence de bombes à neutron dans l'arsenal russe, ni davantage celle de missiles contenant des agents chimiques ou biologiques. Ce que nous savons, ce sont les très graves conséquences de l'empoisonnement à la dioxine et surtout au novichok, "ensemble d'agents innervants développés par l'Union soviétique dans les années 1970 et 1980 puis par la Russie au moins jusque dans les années 1990", dont furent victimes Sergueï et Ioulia Skripal à Londres et/ou Salisbury (2018).
Se peut-il que nos inquiétudes quant à une guerre nucléaire soient balayées par d'autres de nature biologique ou chimique ? Si la maladie de Vladimir Putin et surtout le processus psychopathologique qui le confinerait au délire s'accroît, nous pouvons le craindre.
Conclusion
Je veux terminer cet article en vous invitant à entrer par une autre voie alternative dans ce labyrinthe. Tout dictateur qu'il soit, ce n'est pas Vladimir qui appuiera lui-même sur le bouton, à moins d'un scénario genre nullissime auquel nous ont habitués les block busters américains. J'ai observé dernièrement lors de la diffusion d'un reportage montrant Putin et deux de ses généraux témoins de sa menace que ces derniers n'avaient guère l'air d'avoir envie d'obtempérer ... question d'analyse des micro-expressions.
Ce que je pense, c'est qu'en cas d'ordre de faire péter l'apocalypse, l'état-major ne suivra pas.
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